Il arrive régulièrement lors d’ateliers en ligne que les participants n’aient pas l’habitude d’utiliser un outil en ligne.

Voici un conseil et des exemples pour les accompagner dans la prise en main d’un outil et faire en sorte que la suite de l’atelier se déroule bien.

Lors de formations, de rétrospective ou d’autres ateliers, il m’est arrivé d’avoir des participants à l’aise sur des outils en ligne comme draft.io ou klaxoon mais aussi des participants qui n’avaient mis les pieds sur un outil en ligne.

Choisir le bon icebreaker / ouverture

Je vous conseille pour « aligner » tout le monde, de faire un icebreaker qui va permettre à tous d’expérimenter l’outil et par conséquence le prendre en main.

On va perdre du temps lors de cette icebreaker mais pas pendant l’atelier à proprement parler.

Il est donc important de choisir un icebreaker qui va faire utiliser l’outil comme les participants vont en avoir besoin lors de l’atelier.

S’ils vont avoir besoin d’écrire des post-it, il faut donc que cet icebreaker le fasse faire. Et si en plus c’est utile pour la suite de l’atelier c’est un + !

Voici deux exemples très simples avec les mêmes buts :

Exemple 1 : Qui est là ?

  • faire écrire un post-it
  • déplacer le post-it
  • savoir qui est présent dans l’atelier
  • préparer le trigramme pour la suite de l’atelier
Exemple 2 : plus d’information
  • on récupère le niveau de connaissance des participants sur le sujet de l’atelier et plus de savoir qui sont les participants

Expliquer simplement pas à pas

Quand on va demander de remplir un des exemples, on va l’accompagner d’une explication.

Voici un exemple « écrit » qui est une retranscription de mon explication orale habituelle pour l’outil klaxoon :

ecrire un post it sur klaxoon

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